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La magie de l’humourLa magie de l’humour

Avec «Max et la grande illusion», Emanuel Bergmann signe un premier roman réussi, la rencontre entre un petit garçon et un vieux magicien qui a vécu la tourmente de la Deuxième Guerre mondiale.

19 oct. 2017, 00:45
emanuel bergmann / foto:philipp rohner

Dès sa naissance, la vie de Mosche Goldenhirsch oscille entre le tragique et le comique. Né d’un adultère pendant la première guerre, il perd sa mère tôt et quitte son père pour épouser la vie de saltimbanque au sein d’un cirque où œuvre un grand magicien. Amant de la belle Julia, il cache son identité juive aux autorités. Bien plus tard, le petit Max a bien besoin d’une formule magique pour empêcher son drame à lui, le divorce de ses parents.

Qu’est-ce qui vous a inspiré «Max et la grande illusion»?

Il y a dix ans, peu avant de l’écrire, j’ai divorcé. Ma femme et moi avions des difficultés, parce que nous avions des visions de la vie différentes. Cette séparation a été très douloureuse, mais maintenant nous sommes bons amis. A l’époque, ma femme travaillait pour un magicien. Peu après le divorce, j’ai vu deux films qui montraient des...

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