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Icônes ou groupes prometteurs, le festival se veut rassembleur

Swing in the Wind mêle Scott Hamilton à des formations plus modestes, fait la part belle à la danse et s’achèvera sur une note carnavalesque.

14 juil. 2018, 00:01
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Blues, swing, new orleans, country ou latino, icônes du jazz ou formations plus populaires, «il y en aura pour tous les goûts», affirme Dominique Gutknecht, responsable du comité d’organisation de Swing in the Wind. «Loin de nous l’idée de mettre sur pied un festival élitiste.» Cela quand bien même ce ne sont pas moins des têtes d’affiche telles que Scott Hamilton ou Sarah Lancman, accompagnée par Giovanni Mirabassi, actuellement l’un des meilleurs pianistes du milieu, qui se produiront sur la scène centrale. Mais l’événement fait également la part belle aux groupes plus standards et aux découvertes. Parallèlement à la scène musicale, d’autres performances investiront la ville.

Telle l’expérience Palabre de Mathieu Kyriakidis et de l’Orchestre animé. Elle permettra à tout un chacun d’éprouver, autour d’un accord, la sensation de jouer en groupe. Cela en tapant sur l’une des 74 lames de bois et de métal lorsqu’elles s’allumeront. Nouveauté de cette...

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