Au Panthéon des génies de la musique, Mozart conserve une place à part. Peut-être sera-ce le cas aussi de l’autre Mozart, celui du ballon rond, Luka Modric, leader d’une Croatie qui disputera dimanche la première finale de Coupe du monde de son histoire.
Enfant de la guerre «contraint» de composer avec un corps à première vue chétif, le chef d’orchestre des Vatreni et du Real Madrid a fracassé tous les obstacles qui se sont un jour dressés devant lui, jusqu’à devenir ce joueur hors du commun qui sait absolument tout faire. Et qui semble n’avoir aucune faille.
Mercredi, en demi-finale contre l’An...