«On se fait la bise?» La réponse à cette question semble évidente pour beaucoup d’individus en temps normal, mais elle l’est devenue largement moins en période de pandémie. «Avec le coronavirus, la parole s’est libérée: beaucoup de personnes détestaient faire la bise auparavant mais n’osaient pas le dire», constate Mathieu Avanzi.
Originaire de Haute-Savoie, ce linguiste ayant vécu dix ans à Neuchâtel, installé aujourd’hui à Bruxelles et maîtr...