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Solidarité pour la haute école

Le Conseil des affaires francophones de Bienne veut garantir l?existence d?une filière d?ingénieurs à Saint-Imier. Le canton est réceptif Le Conseil des affaires francophones de la Ville de Bienne se mobilise pour le maintien de la Haute Ecole Arc à Saint-Imier! Et surtout à la lumière des menaces de disparition de la formation d?ingénieurs dans la cité imérienne. Répartie en cinq sites situés dans les cantons de Berne, du Jura et de Neuchâtel, la Haute Ecole Arc est sous pression. Le Conseil fédéral juge ses effectifs trop faibles.

02 déc. 2006, 12:00
Convergences de vues

En 1994, dans le cadre de l?adoption de la loi sur les hautes écoles spécialisées, le Conseil fédéral avait averti qu?il exigerait un effectif minimum de 500 élèves par site. Avec ses 162 étudiants, l?Ecole d?ingénieurs de Saint-Imier risque fort d?être victime d?un regroupement. Marcel Guélat, président de la délégation de la coordination scolaire romande et interjurassienne, a révélé hier qu?une délégation de l?organe des francophones biennois et du Conseil du Jura bernois avait pu discuter de la chose avec le conseiller d?Etat responsable de l?Instruction publique, Bernhard Pulver. «Nous sommes tous arrivés à la même conclusion: il est absolument nécessaire d?assurer la sauvegarde et la pérennité de ce site de formation», a martelé Marcel Guélat.

Le groupe d?experts intercantonaux qui planchent actuellement sur l?avenir de l?école rendra son rapport dans quelques semaines. Avant d?aller, dans le cadre de la structure faîtière, défendre leur point de vue auprès l?Office fédéral de la formation et de la technologie.

Enfin, le Conseil des affaires francophones de Bienne a un nouveau porte-parole. Marc Röthlisberger en sera la cheville ouvrière. / IGA-Journal du Jura

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