"Je me sens très proche des valeurs qu'ils défendent. C'est un syndicat chrétien à l'origine, ça fait aussi partie de mes convictions sur le plan de la foi et un engagement social très fort." Approché par les responsables de la centrale syndicale Travail.Suisse (voir encadré), le conseiller national neuchâtelois Jacques-André Maire a accepté d'en reprendre la vice-présidence, un poste laissé vacant par la Vaudoise Josiane Aubert, qui a quitté les Chambres fédérales.
Une vice-présidence politique dans les faits: le poste doit être occupé par un parlementaire fédéral. "Travail.Suisse avait besoin de ce relais au Parlement. Je ne suis pas impliqué dans les négociations entre partenaires sociaux. Je fais le lien entre la politique fédérale et Travail.Suisse. Dans les deux sens" , explique le socialiste. "Mais je garde mon indépendance."
Dans les deux sens
Sa présence au sein de la commission de la science, de l'éducation et de la culture et...