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Une mesure inefficace

Bilan mitigé pour les entreprises, forcées de passer par les services du chômage.

21 déc. 2018, 00:01
THEMENBILD---Ein Lehrling waehrend der Ausbildung im erst kuerzlich eroeffneten Zeitzentrum, der einzigen Uhrmacherschule in der deutschen Schweiz, aufgenommen am 10. Dezember 2002 in Grenchen. Bei den eidgenoessischen Abstimmungen vom Sonntag, 18. Mai 2003 ist die  Lehrstelleinitiative am Staendemehr gescheitert. Bislang stimmte kein Kanton der Lehrstelleninitiative zu. Inzwischen steht fest, dass das erforderliche Staendemehr nicht mehr erreicht werden kann.  (KEYSTONE/Martin Ruetschi) [Vorlage: FILM] SCHWEIZ LEHRSTELLENINITIATIVE

Voilà bientôt six mois que les recruteurs s’y soumettent de bonne grâce. Ils communiquent leur offre d’emploi, en primeur, aux services du chômage et attendent cinq jours ouvrables avant de publier l’annonce sur leur site internet ou toute autre plateforme. Ces recruteurs, ce sont les hôteliers, les restaurateurs, les agriculteurs, les groupes horlogers, et tous les patrons qui embauchent dans des professions plombées par 8% de chômage au moins. Un seuil qui sera abaissé à 5% en 2020.

Cette «obligation d’annonce», introduite le 1er juillet, a eu un effet immédiat, salue le Secrétariat d’Etat à l’économie (Seco): le nombre de postes soumis aux offices régionaux de placement (ORP) a quasiment doublé, passant de 16 854, en juin, à 30 004, en juillet. Le nombre d’offres publiées a même connu un pic en août, à 36 410, avant de se tasser légèrement.

Pas de chiffres

Sans conteste, la mesure a...

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