Les FMB, qui exploitent la centrale, devraient tenir compte de ces connaissances, estime l'historien du climat. Il suggère donc de les intégrer dans une nouvelle étude sur la sécurité en cas d'inondations. Mais les FMB n'en voient pas l'utilité en ce moment, a dit leur porte-parole Sebastian Vogler, confirmant une information parue dans le «Bund» et le «Tages-Anzeiger».
Christian Pfister s'étonne de cette attitude de l'entreprise, car cette dernière répète à l'envi qu'elle intègre les nouvelles connaissances dans ses analyses. «Lorsqu'il y en a de nouvelles, elle ne veut rien entendre».
D'autres exploitants vont au contraire en tenir compte dans leurs scénarios, comme Axpo pour les centrales de Leibstadt et Beznau. /ats