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Tamedia accepte de négocier

06 oct. 2016, 00:46

Tamedia refuse de considérer la suppression de 31 postes à «24 heures» et à la «Tribune de Genève» comme un licenciement collectif. Cependant, l’éditeur et les sociétés du personnel ont adopté un protocole fixant le cadre de négociations. Elles devraient durer au moins jusqu’au 14 octobre, communiquent les sociétés du personnel. La rédaction de «24 heures» devrait être touchée par 19 suppressions de postes, dont 16 licenciements. Son homologue genevoise devrait perdre 12 postes (8 licenciements).

Après quatre séances «difficiles et stériles», les représentants du personnel reconnaissent une «avancée». Ils espèrent que l’employeur respectera son engagement de discuter sur le fond. «En refusant la notion de licenciement collectif, nous supposons que l’employeur craint d’être entravé pour de prochaines restructurations, dans d’autres rédactions», estime Karim Di Matteo, président de la Société des collaborateurs de «24 heures». «Tamedia refuse aussi que les conseillers d’Etat Philippe Leuba et Pierre Maudet...

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