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"Rien ne dit que les favoris des médias l'emporteront à la fin"

Le Valaisan croit en ses chances de figurer sur le ticket socialiste pour le Conseil fédéral. Même si Berset et Maillard lui font de l'ombre.

14 nov. 2011, 00:01
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Dans la course au Conseil fédéral, Stéphane Rossini est passé jusqu'ici presque inaperçu. Les places sur le ticket socialiste pour la succession de Micheline Calmy-Rey semblent en effet promises à Alain Berset et Pierre-Yves Maillard. Le Valaisan croit malgré tout en ses atouts: une expérience de 12 ans au Parlement, une réputation solide de spécialiste des assurances sociales, et la carte des régions périphériques. Depuis la démission de Micheline Calmy-Rey, la presse ne parle que d'un ticket Maillard-Berset. C'est vexant pour vous? C'est vrai que les médias, alémaniques notamment, ont déjà choisi leur ticket. Mais ce n'est pas encore dit que leurs favoris l'emportent à la fin. La décision se fera en effet au sein du groupe socialiste, pas dans les médias. Votre candidature ne visait-elle pas surtout à tirer les listes du PS aux élections fédérales en Valais - avec succès, puisqu'il a décroché un deuxième siège au National?...
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