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Pas de solution, mais une douzaine de variantes pour la mise en œuvre

26 août 2016, 00:25
Michael Ambuehl, ETH Zuerich, Jean-Michel Cina, Praesident Konferenz der Kantonsregierungen (KdK), und Benedikt Wuerth, Praesident Volkswirtschafts-direktorenkonferenz (VDK), von rechts nach links, informieren ueber die so genannte "Bottom-up Schutzklausel" zur Umsetzung der Masseneinwanderungsinitiative aus Sicht der Kantone, am Donnerstag, 25. August 2016, in Bern. Die Kantone wollen die Probleme mit der Zuwanderung dort loesen, wo sie entstehen. In ihrem Auftrag hat der ehemalige Spitzendiplomat Michael Ambuehl die so genannte Bottom-up Schutzklausel erarbeitet. Diese setzt auf der tiefst moeglichen Stufe an. In geografischer Hinsicht ist das auf Stufe der Kantone.  (KEYSTONE/Lukas Lehmann) SCHWEIZ KANTONE MASSENEINWANDERUNGSINITIATIVE SCHUTZKLAUSEL

Si les cantons s’activent pour peser dans le débat sur la mise en œuvre de l’initiative contre l’immigration de masse, les partis s’agitent aussi. Jusqu’ici, de nombreuses variantes ont été mises en avant, sans qu’aucune s’impose.

La Conférence des gouvernements cantonaux a présenté hier sa solution pour la mise en œuvre du texte de l’UDC, sans contingents mais avec une préférence indigène cantonale. A la fin de la semaine prochaine, c’est la commission des institutions politiques du Conseil national qui mènera son dernier débat à ce sujet. Le dossier passera ensuite devant le plénum. Jusqu’à présent, les discussions ont amené plus d’incertitude qu’autre chose. Une douzaine de variantes sur la priorité aux travailleurs indigènes ou une clause de sauvegarde existent, selon des membres de la commission.

A ce stade, impossible de savoir quelle solution s’imposera au final. La clause ascendante de Michael Ambühl a les faveurs du PDC. «Elle va...

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