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Malgré la polémique, la SSR sauve (provisoirement) sa peau

Le Conseil fédéral garde le cap dans les grandes lignes. Les réactions courroucées pleuvent.

18 juin 2016, 01:00
ARCHIV - ZUM BERICHT DES BUNDESRATES ZU DEN LEISTUNGEN DES SERVICE PUBLIC DER SRG STELLEN WIR IHNEN FOLGENDES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG. - Die Fernsehmoderatoren Kathrin Winzenried, rechts, und Urs Leuthard sprechen am Montag, 19. September 2011, auf dem Bundesplatz in Bern in eine Kamera. Das Schweizer Radio- und Fernsehen SRF sendet mit ihren Sendungen "Live vom Bundesplatz" zwei Wochen lang Themen zu den Eidgenoessischen Parlamentswahlen. (KEYSTONE/Peter Schneider) SCHWEIZ SRG BUNDESRAT BERICHT SERVICE PUBLIC

L’acronyme échauffe les esprits dans la Berne fédérale depuis des mois. «SSR» (Société suisse de radiodiffusion et télévision): trois petites lettres sources de réactions épidermiques, et objet indirect d’une votation populaire acharnée qui avait basculé d’un cheveu en leur faveur il y a un an. A cet égard, en réitérant hier son soutien au modèle actuel dans un rapport, le Conseil fédéral en a irrité plus d’un. Les Sept Sages jugent que le groupe audiovisuel public ne doit pas être redimensionné.

Les répliques n’ont pas tardé. Grand pourfendeur de la SSR, l’Union suisse des arts et métiers (Usam) s’offusque: «Le Conseil fédéral bétonne le statu quo et le budget de plus d’un milliard de francs de la SSR, sans étudier d’éventuelles possibilités de limiter son mandat ou de réduire le budget.» L’association des médias privés romands Médias suisses enfonce le clou: «Une enveloppe annuelle d’un milliard suffirait amplement pour remplir...

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