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«Ma situation est désagréable»

Les juges étrangers divisent Jean-François Rime (UDC, FR) entre son parti et la faîtière des PME, l’Usam.

26 oct. 2018, 00:01
Jean-Francois Rime, SVP-FR, verfolgt ein Votum zum Entsendegesetz an der Fruehlingssession der Eidgenoessischen Raete, am Dienstag, 1. Maerz 2016 im Nationalrat in Bern. (KEYSTONE/Alessandro della Valle) SCHWEIZ SESSION NATIONALRAT

en s’opposant avant-hier à l’initiative de l’UDC «Le droit suisse au lieu de juges étrangers», qui veut placer le droit suisse au-dessus du droit international, l’Union suisse des arts et métiers (Usam) n’a pas formulé un mot d’ordre particulièrement surprenant.

Elle met cependant son président dans une situation peu agréable: le conseiller national UDC Jean-François Rime (FR) est en effet partagé entre son parti et la faîtière des PME. Entretien.

Pour qui allez-vous vous engager le plus, l’UDC ou l’Usam?

La conséquence de cette décision de l’Usam est simple: je vais peu m’engager. Je vais participer à deux débats publics et c’est tout. Je m’y exprimerai en tant que conseiller national UDC, donc en faveur de l’initiative. Je ne suis pas une girouette,

J’ai voté oui au Conseil national à l’initiative de mon parti, et la soutiens sur toute la ligne.

Vous participez à deux débats comme élu UDC....

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