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«Lex Weber»: très loin de la catastrophe annoncée

Le nombre de résidences secondaires vacantes n’a cessé d’augmenter depuis le oui à l’initiative.

20 août 2019, 00:01
ARCHIVBILD ZUR VEROEFFENTLICHUNG DER STUDIE VON AVENIR SUISSE ZU ZWEITWOHNUNGSBESITZERN UND BERGGEBIETEN, AM DIENSTAG, 7. FEBRUAR 2017 - Blick auf eine Ferienwohnungs-Ueberbauung, im Hintergrund der Piz Terri, aufgenommen am Mittwoch, 20. April 2016, in Cumbel, Lumnezia. (KEYSTONE/Gian Ehrenzeller) SCHWEIZ AVENIR SUISSE ZWEITWOHNUNGSBESITZER

L’acceptation de l’initiative Weber par le peuple, en 2012, avait été ressentie comme un véritable camouflet pour les régions de montagne et particulièrement en Valais. Près de quatre ans après l’entrée en vigueur de la loi d’application, tout le monde reconnaît que l’on est très loin de la catastrophe annoncée. La question faisait l’objet d’un séminaire organisé, hier à Berne, par le Groupement pour les régions de montagne (SAB).

L’initiative limitant à 20% le taux de résidences secondaires dans chaque commune, on s’attendait à une ruée sur ces dernières et des prix qui flambent. C’est l’inverse qui s’est produit. Le taux de tels logements vacants est en hausse depuis 2012. Il a même doublé en Valais, alors que la hausse est de 50% sur le plan suisse. Les prix, eux, sont restés stables, voire ont baissé.

Un frein à la surchauffe

«Les effets négatifs sont nettement moins grands que...

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