Berne veut davantage faire passer à la caisse les usagers du rail afin qu'ils couvrent entièrement les coûts qu'ils génèrent. Opposées à cette réforme du prix du sillon, les entreprises de transport de marchandises brandissent la menace d'un transfert sur la route du transport de certaines matières dangereuses. Afin de combler les près de 200 millions de coûts non couverts, la Confédération prévoit un prix du sillon variable selon les heures de la journée pour équilibrer le taux d'utilisation du réseau ferroviaire. Les trains qui sollicitent des créneaux très demandés aux heures de pointe devraient payer plus. / ats
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