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Les auto-écoles ne lâchent rien

Les moniteurs déplorent le flou de la formation continue écourtée. Ils ont écrit à la ministre.

07 juin 2019, 00:01
ZU EINER FAHRSTUNDE DER FAHRSCHULE FINOCCHIO STELLEN WIR IHNEN HEUTE, DONNERSTAG, 12. APRIL 2018, FOLGENDES NEUES BILDMATERIAL ZUR VERFUEGUNG --- A learner driver drives a car of the driving school G. & F. Finocchio under supervision and instruction of a driving instructor, pictured in Bulach in the Canton of Zurich, Switzerland, on March 20, 2018. (KEYSTONE/Gaetan Bally)

Ein Fahrschueler faehrt unter Aufsicht und Anleitung eines Fahrlehrers ein Auto der Fahrschule G. & F. Finocchio, aufgenommen am 20. Maerz 2018 in Buelach im Kanton Zuerich. (KEYSTONE/Gaetan Bally) SCHWEIZ FAHRSTUNDE FAHRSCHULE FINOCCHIO

Un sourire et un passage en force. Doris Leuthard pouvait être intraitable. L’ex-conseillère fédérale est passée outre, juste avant de quitter le gouvernement, en décembre, les désaccords des moniteurs d’auto-école. Cela s’est traduit par le projet «Opera 3», porteur de divers assouplissements du permis de conduire. Parmi ceux-ci, les cours obligatoires de formation continue pour jeunes conducteurs ont été réduits de moitié, de seize à sept heures, avec entrée en vigueur en 2020.

Cette nouveauté (ainsi que certaines autres) ne plaît guère aux moniteurs d’auto-école. Leurs associations faîtières, soutenues par les centres de formation continue, ont donc écrit, la semaine dernière, à la nouvelle ministre des Transports, Simonetta Sommaruga (PS), pour solliciter une entrevue.

Elles soulignent le flou entourant le nouveau régime de ces cours, qui ont lieu l’année suivant l’obtention du permis. Les exigences concrètes manquent, rendent le contrôle de qualité quasi impossible et soulèvent des inquiétudes liées...

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