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Le libre choix du médecin est sauvé

Un nouveau modèle de limitation du nombre de cabinets médicaux va voir le jour.

04 juin 2019, 00:01
THEMENBILD --- Ein Arzt misst im Untersuchungszimmer seiner Praxis den Blutdruck einer Patientin, aufgenommen am 9. Oktober 2004 in Zuerich. Ein Drittel der Bevoelkerung in der Schweiz kann die Krankenkassenpraemien nur mit Muehe oder gar nicht mehr bezahlen. Dies ist ein Resultat einer am Dienstag, 18. Oktober 2005, veroeffentlichten Studie des GfS-Instituts fuer Markt- und Sozialforschung, Zuerich. Erstellt wurde diese Studie im Auftrag des Internet-Vergleichdienstes comparis.ch. Die Bereitschaft der Praemienzahler, Sparmoeglichkeiten konsequent zu nutzen, ist jedoch sehr gering, wie die Studie zeigt. Alternative Versicherungsmodelle wie HMO oder Hausarzt (Rabatte von bis zu 25 Prozent) sind nur fuer 1 Prozent der Befragten ein Thema. (KEYSTONE/Martin Ruetschi)  === NO SALES, NO ARCHIVES, MODEL RELEASED ===    SCHWEIZ KRANKENKASSENPRAEMIEN COMPARIS STUDIE

Il n’est pas question de toucher au dogme du libre choix de son médecin. Le Conseil des Etats a opposé, hier, un niet cinglant aux propositions du Conseil national, qui voulait assouplir l’obligation faite aux assureurs de rembourser les prestations de tous les médecins reconnus. «Ce serait une déclaration de guerre», a prévenu Hans Stöckli (PS, BE).

Les sénateurs débattaient d’un projet appelé à succéder à l’actuel moratoire sur les nouveaux cabinets médicaux, un système provisoire mis en place en 2001 et qui a été prolongé jusqu’à aujourd’hui, faute d’accord politique sur une solution pérenne. La levée de ce moratoire, en 2012, avait conduit à une explosion des nouveaux cabinets et à son rapide retour l’année suivante, au vu des effets sur les coûts de la santé. On estime à un demi-million de francs l’augmentation de ces coûts à chaque ouverture d’un nouveau cabinet.

L’offre crée la demande

C’est...

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