Un refus du peuple à la reconduction et à l'extension de la libre circulation des personnes, le 8 février, serait désastreux, estime le conseiller fédéral Moritz Leuenberger sur son blog. Il en irait de la survie de la compagnie aérienne Swiss. Si le non l'emporte, c'est l'ensemble des bilatérales I avec l'Union européenne qui tomberait. Or, Swiss pourrait à peine survivre sans accord avec Bruxelles sur le transport aérien, soutient Moritz Leuenberger. /ats
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