Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

La sous-location ne sera pas simplifiée pour Airbnb

Berne renonce à son projet de simplification: le locataire devra à chaque fois obtenir l’accord du bailleur.

09 mars 2019, 00:01
In this Thursday, Sept. 20, 2018 photo, a cleaning lady works in an apartment located on Airbnb in Paris. The spectacular growth of Airbnb in Paris, the top worldwide location for the internet giant is also raising alarms in the French capital. Some Parisians and officials at City Hall blame the site for driving Parisian families out of the city center, leading to school closures and concerns that the French capital is losing its life and charms.  (AP Photo/Thibault Camus) France Fighting Airbnb

Un locataire ne pourra pas plus facilement mettre son appartement à disposition sur une plateforme en ligne comme Airbnb. Le Conseil fédéral a jeté l’éponge, hier, face aux oppositions émises lors de la consultation. La question sera éventuellement réexaminée en fonction de l’évolution de la situation. En attendant, le locataire continuera d’avoir le droit de sous-louer son logement, mais devra, à chaque fois, obtenir l’accord de son bailleur.

Selon le projet abandonné, le locataire aurait pu obtenir, du bailleur, un consentement général à la sous-location répétée, de courte durée, de son logement sur une plateforme de réservation en ligne. Le propriétaire n’aurait plus eu à examiner plusieurs demandes en très peu de temps et aurait vu ses charges administratives réduites.

Les conditions de la sous-location auraient figuré dans la demande du locataire, qui aurait indiqué à son propriétaire le montant du loyer, les locaux concernés et leur occupation, en donnant...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias