Ces coûts concernent la phase qui suit immédiatement la mise hors service ainsi que la désaffectation de l'installation et la gestion des déchets radioactifs. Leur financement est assuré par deux fonds indépendants financés par les exploitants, précise l'OFEN. L'Inspection fédérale de la sécurité nucléaire va maintenant examiner ces études en faisant appel à des experts externes.
Dans un communiqué également publié jeudi, les Forces motrices bernoises (FMB) expliquent la hausse des coûts par de nouvelles connaissances et expériences en matière de planification d'entreprosage des déchets, une nouvelle estimation des opérations de démantèlement et des hypothèses de coûts plus élevés pour la phase de post-exploitation.