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L’UDC est seule à exiger le renvoi automatique

Six ans après une première initiative, le peuple suisse doit à nouveau se prononcer sur l’expulsion des criminels étrangers.

26 janv. 2016, 01:27
ARCHIV --- Ein, wegen Diebstahls im Kanton Bern verurteilter Pole wird am 23. August 2006 von der Polizei auf dem Flughafen Zuerich-Kloten zum Flugzeug gefahren, welches ihn nach Polen zurueckschafft. - Das Bundesamt fr Migration (BFM) will die neuen Asyl- und Auslaendergesetze konsequent umsetzen und den Handlungsspielraum bei der Wegweisung von straffaelligen auslaendischen Personen moeglichst umfassend ausschoepfen, wie am Donnerstag, 14. Februar 2008 bekannt gegeben wurde. (KEYSTONE/Gaetan Bally)   SCHWEIZ AUSLAENDERGESETZE

L’UDC a coutume de s’en prendre aux juges étrangers, mais les juges suisses n’échappent pas à sa vindicte. C’est pour leur enlever toute marge de manœuvre qu’elle a lancé son initiative pour le renvoi effectif des étrangers criminels, soumise au peuple le 28 février.

Elle estime en effet trop laxiste la révision du code pénal adoptée par le Parlement après l’adoption de sa première initiative sur le même sujet, en 2010. Aucun autre parti national ne partage cette analyse. Le point en sept questions.

Que demandait la première initiative sur le renvoi?

Le 28 novembre 2010, 52,9% de la population a dit oui à la première initiative sur le renvoi qui réclamait déjà le retrait automatique du droit de séjour des étrangers condamnés pour certaines infractions.

Le texte constitutionnel cite le meurtre, le viol ou tout autre délit sexuel grave, d’autres actes de violence comme le brigandage, la traite des...

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