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Juges romands peu intéressés

Le Parlement recherche désespérément un francophone pour la Cour d’appel du Tribunal pénal fédéral.

10 janv. 2019, 00:01
Aussenansicht des Bundesstrafgerichts in Bellinzona, aufgenommen am Dienstag, 1. September 2015. Vor dem Bundesstrafgericht in Bellinzona hat am 1. September 2015, der Prozess zum Insieme-Skandal begonnen. Angeklagt sind ein ehemaliger Beschaffungsverantwortlicher der Eidgenoessischen Steuerverwaltung sowie zwei Chefs von Zulieferunternehmen. Im Visier der Anklage am Bundesstrafgericht ist in erster Linie der ehemalige Beschaffungschef von IT-Dienstleistungen in der Eidgenoessischen Steuerverwaltung. Er muss sich laut Anklageschrift wegen passiver Bestechung, mehrfacher ungetreuer Amtsfuehrung, Urkundenfaelschung und Vorteilsnahme verantworten. (KEYSTONE/Ti-Press/Gabriele Putzu)

La Lucernoise Andrea Blum, 38 ans, et la Tessinoise Claudia Solcà, 52 ans, ont pris leurs fonctions le 1er janvier, à Bellinzone. Les deux juges ordinaires de la nouvelle Cour d’appel du Tribunal pénal fédéral (TPF) ont été élues en juin; garantissant – une fois n’est pas coutume – une forte représentation féminine dans l’une des plus hautes juridictions du pays.

En revanche, la représentation fait défaut. Aucun juge ordinaire francophone n’a pu être élu par l’Assemblée fédérale. Faute de candidature valable.

Rejuger le fond

Pour siéger dans cette cour chargée de rejuger les affaires pénales (voir ci-contre), «nous voulions recruter trois juges ordinaires, de trois langues nationales, pour un total de 200%. Nous cherchions donc un francophone à 40%. Sans succès», raconte le conseiller national Jean-Paul Gschwind (PDC/JU), président de la commission judiciaire, chargée du casting.

La commission a augmenté le taux de travail sur les annonces suivantes,...

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