En ce début d’année, le président de la Confédération souhaite à la Suisse la stabilité politique, «la meilleure carte de visite pour les investisseurs». Dans la presse dominicale, Johann Schneider-Ammann évoque aussi ses défis, dont les relations avec l’UE.
Sur le dossier de l’immigration, il mentionne que le Conseil fédéral vise une clause de sauvegarde en accord avec l’Union européenne (UE). «Nous avons cherché pendant des mois et des mois toutes sortes d’alternatives», rappelle-t-il dans un entretien publié par Le Matin Dimanche et la SonntagsZeitung. «Je suis convaincu que c’est la meilleure option pour réussir en même temps à réduire l’immigration et à conserver les accords bilatéraux.» Johann Schneider-Ammann ne veut toutefois pas encore évoquer le détail de la clause de sauvegarde.
«Tout ce que je peux dire, c’est qu’il faudra trouver des critères quantitatifs mais aussi qualitatifs. Il y a beaucoup de critères envisageables. Mais la solution...