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Identité électronique: ils pourraient conquérir la Suisse si le peuple vote «oui» le 7 mars

Le principal émetteur de l’identité électronique, SwissSign, a un intérêt à ce que le peuple vote «oui».

22 févr. 2021, 00:01
/ Màj. le 23 févr. 2021 à 07:08
HANDOUT - Daniel Graf, Netzaktivist, Kommunikationsstratege und Berater, am 7. August 2019 in Basel. Graf ist Mitbegruender der Crowdfunding Plattform Wecollect, mit der der politische Austausch und die Unterschriftensammlung fuer Initiativen vereinfacht wird. (Nicole Pont) *** NO SALES, DARF NUR MIT VOLLSTAENDIGER QUELLENANGABE VERWENDET WERDEN ***

Ils sont sept dans les starting-blocks, prêts à s’élancer: parmi eux, le canton de Schaffhouse et le consortium SwissSign. Emetteurs d’une identité électronique (e-ID), ils pourraient conquérir la Suisse si le peuple vote «oui» le 7 mars – ce qui est loin d’être acquis d’après les sondages. Dans ce cas, l’e-ID se généralisera comme identifiant sur internet, que ce soit pour les achats ou les démarches avec l’administration. Reconnue par l’Etat mais facultative, elle allouerait une meilleure sécurité à tous, assurent les partisans de droite.

Le cercle des diffuseurs de l’e-ID n’est pas définitivement arrêté. Le canton de Schaffhouse semble encore indécis, rapportait la NZZ, et de nouveaux concurrents pourraient rejoindre la compétition. Toujours est-il que l’un des prétendants monopolise l’attention: SwissSign fait figure de véritable mastodonte, réunissant des poids lourds de la banque, de l’assurance, et des groupes parapublics.

Le consortium a des allures de gotha: les CFF,...

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