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Droits humains: les parlementaires dénoncent la surveillance chinoise sur sol suisse

Des parlementaires de tous bords dénoncent la surveillance, en Suisse, de Tibétains et d’Ouïgours.

08 avr. 2021, 00:01 / Màj. le 08 avr. 2021 à 07:30
Die Mitglieder der Gruenen Fraktion, von rechts, Kilian Baumann, GP-BE, Sophie Michaud Gigon, GP-VD, Nicolas Walder, GP-GE, und Sibel Arslan, GP-BS, eilen zur Abstimmung an ihre Plaetze, nachdem sie der Debatte um eine Forderung zur raschen Lockerung der Corona-Massnahmen an den Bundesrat ferngeblieben waren, an der Fruehlingssession der Eidgenoessischen Raete, am Mittwoch, 3. Maerz 2021 im Nationalrat Bern. (KEYSTONE/Alessandro della Valle)

personne n’est content, pourrait-on résumer. Des parlementaires de tous bords condamnent les agissements de la Chine, qui n’hésite pas à surveiller et intimider en Suisse même des Tibétains et Ouïgours opposés au régime communiste. Unis dans la réaction, les élus contactés divergent en revanche au moment d’évoquer un possible durcissement de la politique à l’égard de Pékin.

Toutes les personnes établies en Suisse possèdent les mêmes droits fondamentaux, et notamment la liberté d’expression, la protection de la sphère privée et la sécurité.
Christine Bulliard-Marbach, conseillère nationale (Le Centre/ FR)

Sur le fond, tous s’accordent. La loi prohibe l’espionnage sur le territoire de la Confédération. «Toutes les personnes établies en Suisse possèdent les mêmes droits fondamentaux, et notamment la liberté d’expression, la protection de la sphère privée et la sécurité», souligne Christine Bulliard-Marbach (Le Centre, FR), de la commission de politique extérieure du Conseil national. «Il ne devrait donc...

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