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De nouvelles pistes d’avenir pour le cirque Knie

Plusieurs cirques traversent une mauvaise passe en raison d’une baisse de leur fréquentation. Pour évoluer sans sombrer, le Knie mise sur l’émotion et l’excellence.

16 août 2019, 00:01
/ Màj. le 16 août 2019 à 08:00
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Cette année, le cirque Nock, le plus ancien de Suisse, a jeté l’éponge après 159 ans d’activité. Les raisons de cette décision? Des problèmes budgétaires, une baisse de fréquentation, le public qui ne supporte plus la chaleur sous le chapiteau, des prix de location de terrain qui s’envolent, des réglementations plus sévères sur les animaux, les protestations des antispécistes et le sentiment d’être à peine toléré par les communes qui autrefois se réjouissaient de l’arrivée d’un cirque dans leur périmètre. Nock qui pleure, Knie qui rit. Comment expliquer un tel contraste?

Concilier tradition et innovation

Alors que des enseignes de cirque périclitent ou disparaissent carrément, le cirque Knie semble résister avec succès aux changements sociétaux. «Des cirques qui naissent et d’autres qui disparaissent, on a toujours connu ça», observe sereinement Fredy Knie Junior. Pour tirer son épingle du jeu, donner aux gens l’envie de sortir de chez eux et...

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