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Chaîne du Bonheur: plus d’un million de francs en faveur des femmes

La 250e collecte de dons de la Chaîne du Bonheur a dépassé le million de francs. Elle vise à aider les femmes dans les crises oubliées. La fondation a pu compter sur le soutien des médias.

20 sept. 2019, 07:49
Les femmes sont particulièrement touchées dans les conflits, comme ici au Congo (archives).

Les dons et promesses de dons reçus pour la 250e collecte de la Chaîne du Bonheur en faveur des femmes dans les crises oubliées atteignaient jeudi soir le montant de 1’022’214 francs. L’objectif est de soutenir des projets en Suisse et à l’étranger.

«Ces dons permettront de soutenir des projets spécifiques ou de prolonger des projets existants », explique le directeur de la Chaîne du Bonheur, Tony Burgener, dans un communiqué. L’objectif est de soutenir une dizaine de projets avec des contributions de 100’000 à 200’000 francs.

La 250e collecte de la fondation s’est déroulée du 12 au 19 septembre, en privilégiant les possibilités de dons numériques. Cette action a démontré que les donateurs et donatrices de Suisse sont très actifs sur les canaux digitaux, qu’ils interagissent sur les contenus humanitaires, mais que cette interaction est relativement peu convertie en dons.

Comme cela a toujours été le cas au cours des 73 années de l’histoire de la Chaîne du Bonheur, la fondation a pu compter sur le soutien des médias de la SSR, des radios locales et d’autres médias privés. De très nombreux articles et émissions ont été consacrés au rôle des femmes dans les pays en crise.

Crises oubliées

Par exemple sur l’île grecque de Lesbos, l’une des portes d’entrée migratoires de l’Europe, la situation s’est encore aggravée ces derniers jours. Dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), les femmes sont particulièrement touchées par les conséquences d’un conflit interminable et les effets dévastateurs de la fièvre Ebola.

Au Honduras, les droits des femmes sont régulièrement bafoués. Et au Liban, les femmes réfugiées syriennes doivent prendre leur destin en main.

«Le simple fait que le thème des femmes dans les crises oubliées ait été largement abordé dans de nombreux médias traditionnels, mais aussi, de manière très engagée, sur tous les réseaux sociaux, est un succès», conclut Tony Burgener.

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