Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

«Ce n’est quand même pas de notre faute, yodelidiouh»

24 oct. 2020, 00:01
Le groupe de jodleurs, JK Bachji Lalden, font une performance lors de la 30eme edition de la Fete federal de jodler (Eidgenoessisches Jodlerfest) ce vendredi 23 juin 2017 a Brigue en Valais. La 30eme Fete federale de jodel reunira plus de 10'000 jodleurs, joueurs de cor des alpes et lanceurs de drapeaux. Ils devraient etre plus de 150'000 a venir les applaudir ce week-end. (KEYSTONE/Jean-Christophe Bott) ArcInfo

Qui n’en a pas parlé, qui ne s’en est pas gaussé: la comédie musicale de yodel «Uf immer und ewig» (Pour l’éternité), qui tourne en Suisse alémanique depuis janvier 2020, s’est révélée être un événement de supercontamination du virus dans le canton de Schwyz. Le malheureux destin des yodleurs et du public testés positifs a eu un écho jusque dans le «New York Times».

Plus de la moitié des membres d’une chorale neuchâteloise ont également été infectés. Mais un certain voyeurisme (voire une certaine Schadenfreude) a fait que les Schwyzois ont été bien davantage raillés que les Neuchâtelois… En costume, poussant la youtze, diffusant l’affreux virus, quoi de mieux à dénigrer?

Montrés du doigt jusqu’en Appenzell

Les organisateurs du spectacle sont sortis de leur silence (et de leurs gonds) cette semaine. «Nous avons suivi les règles de protection à la lettre et n’aurions pas pu faire mieux», s’est insurgé Erwin...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias