Souvenez-vous. C’était la dernière semaine de mars. On venait de suspendre les championnats d’à peu près tous les sports, lesquels se retrouvaient subitement groggy. Dans les journaux, l’explosion de la propagation du virus ne laissait plus de place à aucune autre catégorie de nouvelles.
C’est dans cette ambiance qu’une une bombe a éclaté au sein du petit monde du volleyball neuchâtelois, sans que personne ou presque ne lui prête attention. On apprenait en effet non seulement que l’équipe de volleyball de Val-de-Travers était en proie à de profondes tensions entre ses joueuses, son coach Luiz Souza et sa présidente Joëlle Roy.
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Dans le même temps, on apprenait aussi et directement son corollaire: le club de Couvet avait pris la décision de maintenir son entraîneur en place et de se séparer de neuf joueuses. Neuf. Soit les trois quarts de son contingent de...