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Le NUC ne veut pas être distancé

Après la Coupe d’Europe, les Neuchâteloises accueillent Kanti Schaffhouse ce soir (20h) en championnat.

16 nov. 2018, 00:01
/ Màj. le 16 nov. 2018 à 12:45
Le NUC ici face à VFM.

Pas le temps de digérer la qualification en Coupe d’Europe. Deux jours à peine après sa nette victoire face à Las Palmas, le NUC reçoit, ce soir (20h), Kanti Schaffhouse en championnat.

Avec le devoir de l’emporter si les volleyeuses neuchâteloises ne veulent pas être distancées par le trio de tête, composé d’Aesch (14 points), des Schaffhousoises (14) et de Guin (12). Les filles de la Riveraine pointent au quatrième rang avec dix unités. «Sur le plan comptable, il serait important de gagner», avoue la coach Lauren Bertolacci. «Mais à ce stade de la saison, je suis plutôt concentrée sur notre niveau de jeu. Or si nous jouons bien, les résultats vont suivre. Et je constate que nous sommes en progrès depuis quelques semaines.»

Mercredi à la Riveraine, l’Américaine Tia Scambray et ses coéquipières n’ont eu besoin que de trois sets et 64 minutes pour se débarrasser des Espagnoles et valider leur ticket pour les 16es de finale de la Challenge Cup. De quoi ne pas trop gaspiller d’énergie en cette période extrêmement chargée.

«Disons que c’est un bonus», sourit l’entraîneure australienne. «Si nous avions dû nous battre plus longtemps, j’aurais simplement adapté nos séances d’entraînement. Quoi qu’il en soit, je ne vais pas laisser au repos certaines joueuses ou moins les utiliser. Je vais, comme à mon habitude, aligner celles que je pense être le plus aptes à nous faire gagner.»

Pour cette rencontre au sommet, Lauren Bertolacci devra toujours se passer de Carole Troesch, qui retrouve peu à peu ses sensations après son opération à un genou ce printemps. «Elle peut jouer les actions défensives à l’entraînement, mais elle est encore un peu juste en attaque», conclut-elle.

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