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Un mental encore trop friable

Siméon Rossier doit apprendre à gérer ses frustrations pour vraiment passer un cap.

05 août 2016, 01:54
Tennis. Interclubs. CT  Neuchatel

Simeon Rossier



Neuchatel 02 08 2016

Photo © David Marchon CT NEUCHATEL

Pablo Minutella aime parler de points gagnants, de défense acharnée, de passing-shots réussis... Mais ce qui le botte le plus dans ces interclubs, c’est «notre projet», comme il le nomme, presque affectueusement. Cette utopie de monter une équipe de LNA au CT Neuchâtel avec des jeunes du club, qui se mue gentiment en rêve et deviendra probablement, dans un an ou deux, à force de travail et de persévérance, une réalité bien concrète.

Siméon Rossier (21 ans) figure dans le six de base des Cadolles depuis le retour du club en élite l’année dernière, alors que Louroi Martinez (18 ans le 1er octobre) et Damien Wenger (16 ans) ne demandent qu’à y entrer pour de bon.

«Tant que je progresse...»

Pierre angulaire du projet du CTN – c’est autour de lui que ce dernier a commencé à germer au sein de l’école de tennis –, Siméon Rossier gravit les...

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