L'homme aux 16 sacres en Grand Chelem, qui avait terminé la saison 2010 en triomphant pour la cinquième fois dans un Masters, a donc fait le plein de confiance avant de disputer à Melbourne le seul tournoi majeur dont il détienne encore le titre. Il n'a concédé qu'un seul break en cinq matches à Doha, au 2e tour face à Marco Chiudinelli, alors qu'il avait perdu sa concentration en raison de la blessure au dos de son ami.
"Je n'arrive pas à croire que j'ai déjà conquis un titre en 2011 alors qu'il s'agit de la première semaine de compétition. Le plateau était relevé, avec Rafael Nadal et Davydenko notamment. Je suis impatient de poursuivre la saison", lâchait-il sur le court.
Roger Federer n'a jamais été en danger face à Nikolay Davydenko, tenant du titre à Doha et tombeur d'un Rafael Nadal diminué en demi-finale. Il ne devait ainsi pas faire face à la moindre balle de break dans cette rencontre qui ne durait que 79', alors que le Russe est pourtant l'un des meilleurs relanceurs du circuit.
Comme la veille face à Jo-Wilfried Tsonga (ATP 13), Roger Federer prenait un départ de rêve en s'adjugeant les trois premiers jeux - avec un break réussi "blanc" - en tout juste 9'. Le Bâlois, qui aurait pu conclure plus rapidement une première manche dans laquelle Nikolay Davydenko sauva 6 balles de set à 2-5, devait patienter jusqu'au 9e jeu du second set pour forcer la décision. Il profitait alors de la fébrilité du Russe, qui craquait là aussi sans inscrire le moindre point. /si
"Je n'arrive pas à croire que j'ai déjà conquis un titre en 2011 alors qu'il s'agit de la première semaine de compétition. Le plateau était relevé, avec Rafael Nadal et Davydenko notamment. Je suis impatient de poursuivre la saison", lâchait-il sur le court.
Roger Federer n'a jamais été en danger face à Nikolay Davydenko, tenant du titre à Doha et tombeur d'un Rafael Nadal diminué en demi-finale. Il ne devait ainsi pas faire face à la moindre balle de break dans cette rencontre qui ne durait que 79', alors que le Russe est pourtant l'un des meilleurs relanceurs du circuit.
Comme la veille face à Jo-Wilfried Tsonga (ATP 13), Roger Federer prenait un départ de rêve en s'adjugeant les trois premiers jeux - avec un break réussi "blanc" - en tout juste 9'. Le Bâlois, qui aurait pu conclure plus rapidement une première manche dans laquelle Nikolay Davydenko sauva 6 balles de set à 2-5, devait patienter jusqu'au 9e jeu du second set pour forcer la décision. Il profitait alors de la fébrilité du Russe, qui craquait là aussi sans inscrire le moindre point. /si