Un coup droit dans le filet et une double faute sur les deux premiers points de la partie, mais une victoire 6-3 7-5 en 67’ au final: Roger Federer a livré, une fois encore, une performance contrastée à Bâle.
Victorieux 6-3 7-5 d’un Jan-Lennard Struff (ATP 52) bien trop «généreux» avec ses frappes de mule, Roger Federer n’a pas levé tous les doutes, hier, lors de ce huitième de finale. Après un premier match laborieux mardi contre Filip Krajinovic, l’homme aux vingt titres du Grand Chelem n’a pas pleinement rassuré. Son début de match catastrophique aurait pu lui coûter très cher si son adversaire avait témoigné de la rigueur voulue.
A 3-1 15-30, on était ainsi plus proche d’un double break en faveur de l’Allemand que d’une «remontada» du Bâlois. La présence du docteur Roland Biedert dans son box, l’homme qui l’avait remis sur pied presque de manière miraculeuse avant...