«Timea Bacsinszky et Stan Wawrinka, mais dans la main.» C’est le titre qu’aurait pu porter cet article suite à la qualification de la première pour les quarts aux dépens de Venus Williams (6-2 6-4) et du second pour les demies contre Albert Ramos Viñolas (6-2 6-1 7-6 ). Sauf qu’il apparaissait un peu banal pour ceux qui ont confirmé entretenir une histoire bien plus intime avec la capitale française.
A quelques heures d’intervalle, Paris est devenue la terre d’adoption pour celle qui y avait atteint le dernier carré l’année dernière et pour celui qui y avait soulevé la Coupe des Mousquetaires.
Une éclaircie sur le Lenglen
Le ciel est gris sur la Porte d’Auteuil lorsque Timea Bacsinszky apparaît sur le court Suzanne-Lenglen. Regard fixé sur la terre, écouteurs sur les oreilles, elle attend la fin de sa chanson préférée, range son téléphone portable et rejoint l’arbitre pour le tirage au...