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La Suisse se méfie de son statut

Roger Federer et Stan Wawrinka ne veulent pas verser dans l'euphorie.

10 sept. 2014, 00:01
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Une marche. La Suisse n'a plus qu'une - petite - marche à franchir avant de disputer la deuxième finale de son histoire en Coupe Davis. Vingt-deux ans après la défaite de Forth Worth. En 1992, en demi-finale, elle s'était d'abord baladée face au Brésil. A Palexpo. Et devant 18 000 spectateurs. Déjà. Le parallèle ne s'arrête pas là. La Suisse sera autant favorite dès vendredi face à l'Italie qu'elle l'était alors face aux Sud-Américains. Les Italiens le savent. Les observateurs y adhèrent. Mais les Suisses, eux, se méfient.

"A l'intérieur du groupe, nous savons qu'aucune rencontre n'est facile", prévient Roger Federer. "La presse a vite fait de nous voir au tour suivant. De notre côté, nous ne nous laisserons pas avoir par cette euphorie. Chaque match est important. Il nécessite une préparation et une concentration adéquates."

Roger Federer et encore moins Stan Wawrinka, rapport à ses deux premiers matches compliqués,...

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