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Conclure n’est pas à la portée de tous

Tsonga et Wozniacki ont prouvé hier qu’il est possible d’inverser le cours de matches quasiment perdus.

18 janv. 2018, 00:01
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Melbourne Park a vécu ses premiers coups de chaud. Jo-Wilfried Tsonga et Caroline Wozniacki, revenus de nulle part, ont démontré qu’il ne faut jamais abandonner. Au grand dam de Denis Shapovalov et Jana Fett.

«J’ai une ouverture. Je sens que je vais conclure.» Et pourtant, Michel Blanc, dans le film «Les bronzés», n’y est pas parvenu. Ce sentiment de passer tout près pour ensuite déchanter, les joueurs de tennis s’y heurtent parfois de plein fouet. La preuve en a été donnée à plusieurs reprises hier à Melbourne Park, où l’on a vécu les premiers coups de chaud, servis autant par les as de la raquette que par la météo.

Il y a d’abord eu ce pauvre Yuichi Sugita, qui espérait bien enchaîner contre le géant Ivo Karlovic après avoir éliminé Jack Sock et qui s’est retrouvé à trois points de la victoire, mais qui a fini par essuyer 53 aces...

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