«Le Dakar est fait pour les amateurs et il accepte les professionnels.»
Nicolas Monnin (50 ans) reprend la citation de Thierry Sabine, fondateur de la mythique épreuve. Le Neuchâtelois d’adoption est un mordu de moto et des grands espaces qu’elle peut offrir. Intarissable et inarrêtable quand on évoque sa discipline, le Jurassien établi dans le canton de Neuchâtel depuis 1994 a participé une fois au Dakar, en 2016. Contraint à l’abandon (lire ci-dessous), il entend bien concrétiser son rêve de rallier l’arrivée de l’épreuve de référence dans le rallye-raid.
Pour y parvenir à l’horizon 2022, il a décidé de créer un team. «Il m’a fallu un moment pour digérer mon échec de 2016. J’ai dû le faire mûrir jusqu’à l’automne 2018. Mais, quelque part, la mise sur pied d’une équipe était latente en moi», explique celui qui est surnommé Sumo, en référence à une discipline qu’il a pratiquée durant deux...