En possession d’un CFC de mécanicien automobile, il s’était dans un premier temps destiné à réparer les voitures plutôt qu’à les piloter.
Mais lorsque l’on s’appelle Hirschi, l’adrénaline de la compétition et l’odeur de la gomme qui s’use au fil des tours de piste restent plus fortes que tout. Portrait d’un pilote pressé.
Dès son plus jeune âge, Jonathan Hirschi a trempé dans cet univers en suivant les traces de son père, Pierre. «J’ai grandi au milieu de ses courses, en passant mes week-ends en famille sur les circuits. Au début, je me suis essayé au karting, mais je n’ai pas eu envie de persévérer.»
A partir de là, tout va s’enchaîner très rapidement pour le pilote neuchâtelois. A 17 ans seulement, le Vaudruzien entamait sa carrière en monoplace au volant d’une Formule Renault 2,0 litres.
L’«éléMans» déclencheur
Son diplôme obtenu, Jonathan Hirschi a pu alors se consacrer pleinement...