Un attaquant du Canadien de Montréal, un play-boy apprécié des partisans. Une demeure, décrite comme vaste et luxueuse. TQS, réseau télévisé québécois, saute sur l’occasion. Une émission de téléréalité est née: «La maison de Maxim Lapierre». «Et les audiences étaient très bonnes», sourit l’attaquant du HC Lugano, qui a ouvert hier après-midi la 90e Coupe Spengler.
Durant les 13 épisodes égrainés pendant le printemps 2009, Lapierre se prête au jeu. Autour d’une designer d’intérieur de métier, quelques dames de coéquipiers montréalais, dont l’épouse de Saku Koivu, s’attellent devant les caméras pour répondre aux vœux du hockeyeur. «Pendant cette période, il y avait toujours beaucoup de monde à la maison», s’amuse Lapierre. «J’étais jeune, j’avais 24 ans, j’étais célibataire et les fans du Canadien m’appréciaient bien. Aujourd’hui, à 31 ans, c’est quelque chose que je ne ferais pas. Je suis marié et j’ai deux filles. Ma situation est différente.»...