«On n’a jamais tout vu. Tout comme on n’est jamais assez bon. Mais il est vrai que j’arrivais au bout de quelque chose avec ces JO. Je réalisais un objectif que j’ai attendu pendant presque quatre ans», explique Nicolas Fluri.
Après les Jeux de PyeongChang en février et les championnats du monde au Danemark en mai, ses quatrièmes chez les grands, l’homme aux douze saisons de National League agrémentées de huit participations à la Coupe Spengler repart de zéro ou presque. Pour l’actuel exercice, le Prévôtois de 34 ans a échangé son costume de juge de ligne reconnu contre celui d’arbitre principal en apprentissage chez les juniors élites A, en Swiss Regio League et en première ligue.
Un vœu de toujours
«Lorsque j’ai décidé de changer, j’avais un peu peur, j’appréhendais d’effectuer le saut. Parce que je passais des Jeux olympiques et des Mondiaux à des matches où l’on...