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Il n'y a pas de quoi fanfaronner

L'humiliation de la culbute évitée, le vice-champion 2013 n'a plus trop d'espoir d'accrocher le grand huit. "Il reste un match pour montrer notre valeur", dit Weber.

19 mai 2014, 00:01
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La Suisse a sauvé sa place dans l'élite mondiale. Une année après l'exploit argenté de Stockholm, elle a senti le vent du boulet à Minsk. Auteure d'un début de tournoi famélique (quatre défaites en cinq matches), la sélection de Sean Simpson jouait samedi sa peau face au Kazakhstan, dont le retour à l'échelon supérieur aura été bref. Appliqués, plus rapides et meilleurs techniquement, les Helvètes n'ont jamais été inquiétés (6-2). Sous pression, la jeune troupe a fait preuve de maturité.

Une sérénité rassurante

"Les Kazakhs étaient sur nos talons au classement. Une victoire était impérative", rappelle Yannick Weber.

"On voulait gagner pour rester en course pour les quarts de finale, mais en même temps pour survivre dans l'élite", ajoute Etienne Froidevaux. "Avant samedi, nous n'avions jamais évoqué une éventuelle relégation. Ces craintes nous ont été rapportées de l'extérieur. Et nous avons débattu entre nous. Sean Simpson nous a simplement dit...

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