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Félicien Du Bois explique comment on s'adapte à l'absence de Coupe Spengler

L’annulation du tournoi de fin d’année a un fort impact sur le club qui l’organise, ainsi que sur le tourisme local. Témoignages, dont celui du hockeyeur neuchâtelois.

28 déc. 2020, 06:00
Félicien Du Bois (à gauche, à la lutte avec Elia Mazzoleni d’Ambri-Piotta) a disputé la Coupe Spengler à huit reprises. (KEYSTONE)

Le 26 décembre, sur le coup de 15 h 15, le cœur de nombreux Davosiens s’est serré. Appétissante coupe glacée servie à l’entre-deux fêtes et dégustée bien au-delà des montagnes grisonnes, la Spengler n’a pas pu prendre ses quartiers habituels le 26 décembre.

Pas d’improbable duel germano-finlandais, pas de classique Davos – Team Canada, pas de star de KHL, pas de Hitsch (la mascotte déjantée), pas de cohue dans l’énorme tente de supporters, pas non plus de Schlagermusik pour vous anesthésier les tympans. Autant de paramètres qui auraient fait le jeu d’un coronavirus volatil; d’où l’annulation logique de la 94e édition, prononcée à la fin septembre, déjà.

«Nous avons eu le temps de nous y préparer. A force, on s’est fait à l’idée des matches sans spectateur. Elle paraît bien lointaine, l’époque des émotions. Je n’arrive même pas à imaginer un tournoi comme la Coupe Spengler. J’espère qu’on se réhabituera...

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