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Fabrice Dessarzin sur ses gardes contre les Aigles

Le derby entre Franches-Montagnes et Université Neuchâtel s'annonce assez équilibré en quart de finale des play-off de première ligue. Saint-Imier contre Berthoud.

12 févr. 2019, 00:01
/ Màj. le 12 févr. 2019 à 08:20
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Les play-off de première ligue débutent ce mardi soir et ces séries proposent un derby régional avec la confrontation entre le HC Franches-Montagnes (HCFM) et Université Neuchâtel (20h15 à Saignelegier).

Les Jurassiens (2es du championnat) viennent de prendre le meilleur sur les Neuchâtelois (7es) comme à deux autres reprises cette saison. «Rien n’est impossible si nous sommes prêts et motivés», annonce Marc Gaudreault, mentor des Aigles neuchâtelois qui doit se passer de Buthey, voire de Marion.

En face, le Chaux-de-Fonnier d’adoption Fabrice Dessarzin est sur ses gardes. «Ce ne sera pas si simple», affirme le coach du HCFM, ancien entraîneur au Littoral. «Le match de ce samedi s’est avéré compliqué (réd: victoire 3-0 du HCFM). Université Neuchâtel est une équipe très bien organisée défensivement et qui dispose d’un super-gardien (David Fragnoli).»

Finir en beauté

L’attaque des Taignons est affaiblie depuis quelque temps (Gaëtan Siegrist et Quentin Schnegg sont blessés) et ne va pas simplifier la tâche des Jurassiens. «En plus, nous ne pourrons plus compter sur les jeunes du HCC (réd: Ludovic Voirol et Arnaud Schnegg)», ajoute Fabrice Dessarzin. «Certains de mes gars doivent prendre conscience que nous avons besoin d’eux en attaque. Sinon, pour nous, cette série sera compliquée.»

Pour sa dernière saison à Saignelégier, Fabrice Dessarzin espère finir en beauté. «Mon cas personnel n’a pas d’importance», coupe-t-il. «Je préfère tout de même finir par un titre que par une élimination au premier tour.»

«Rien n’est impossible», dixit Marc Gaudreault, le coach du HC Université Neuchâtel.
Crédit: Archives Christian Galley
 

Imériens sans peur

De leur côté, les Imériens retrouvent aussi ce mardi soir, à l’extérieur, leur dernier adversaire en championnat, Berthoud (défaite 0-8 samedi). «Nous ne devons pas avoir peur, même si nous avons perdu deux fois contre cette équipe cette saison», lance Michael Neininger, coach de Saint-Imier.

«Nous sommes capables de rivaliser et c’est à nous de trouver les solutions. Samedi, nous nous sommes fait houspiller par une partie de notre public et ça m’a fait mal surtout pour mes joueurs qui sont des amateurs. Je rappelle que nous avons terminé cinquièmes du championnat.» jce pac ech

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