Nicolas Anelka «se satisfait de la décision» de justice, qui l'a pourtant débouté le 1er juillet dans son procès avec «L'Equipe». L'ancien international français «souhaite désormais définitivement clôturer ce dossier». Le quotidien avait retranscrit en «Une» sa désormais célèbre adresse au sélectionneur de l'équipe de France: «Va te faire enculer sale fils de pute». / si-afp
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