Wayne Rooney est une star à Manchester United et en Angleterre. L'attaquant international de 30 ans est l'un des métronomes des Red Devils. Depuis son arrivée en 2004, il y a marqué près de 500 goals!
Problème, cette saison, après dix matches, il n'a inscrit que deux buts en championnat. Pour un joueur qui gagne près de 380'000 francs par... semaine, ça fait grincer les dents de ses plus fervents supporters.
Même son fils lui préfère désormais Cristiano Ronaldo:
Le fils de Wayne Rooney avec le maillot de son idole, Cristiano! pic.twitter.com/B6z2OmD9s8
— SocialRMadrid FR (@SocialRMadridFr) 26 Octobre 2015
Et ce weekend, le capitaine de l'équipe d'Angleterre a une nouvelle fois été muet, lors du triste nul 0-0 ramené de Crystal Palace.
Le community manager de la police du Grand Manchester a eu un réflexe a priori plutôt drôle en postant sur le compte Twitter officiel un faux avis de disparition:
"Détective Sergent Dave-Personne disparue-Wayne Rooney, vu pour la dernière fois dans le secteur de Trafford (n.d.l.r le nom du stade de United), portant un pull rouge, si vous l'avez vu, contactez nos collègues."
Un trait d'humour qui a eu le don de susciter la colère de nombreux tweetos, rapporte le Daily Mail, furieux que l'on banalise et ridiculise ainsi les avis de disparition ou les alertes enlèvements. Le tweet a depuis été effacé.
A Everton aussi
Selon The Independent, un incident similaire s'est produit sur le compte Twitter de la police de Merseyside, la région de la ville de Liverpool. Une ville où évoluent deux équipes de pointe: Liverpool, bien sûr, mais aussi Everton. Les Toffees ont écrasé ce weekend Sunderland 6-2. Un score fleuve qui a titillé l'imagination d'un tweetos qui a posté sur le compte Twitter de la police ce message:
"Bonjour. Je voudrais signaler un viol qui a eu lieu à Goodison Park (n.d.l.r. le stade d'Everton), Liverpool, le 1er novembre à 15 heures."
Le hic, c'est que la personne en charge des réseaux sociaux n'a pas supprimé ce tweet. Pire, elle en a remis une couche.
"Je voulais juste confirmer qu'il n'y a pas vraiment eu de viol. Sunderland a par contre été attrapé avec les pantalons en bas."
La police a ensuite retiré ces messages, avant de s'excuser platement. Une enquête a par ailleurs été ouverte pour déterminer qui avait posté ces tweets.