Il est 11h40 en ce samedi matin à la Maladière. Les joueurs de Neuchâtel Xamax FCS viennent de mettre un terme à un entraînement d’un genre un peu particulier: un match de deux fois quarante minutes opposant des Xamaxiens à d’autres Xamaxiens.
Plutôt que des matches amicaux, le coach Stéphane Henchoz a en effet préféré propulser sur le terrain tout son effectif (à l’exception des cinq joueurs engagés dans leurs différentes équipes nationales, tels que Serey Die (Côte d’Ivoire) Nimani (République centrafricaine), Oss (Lettonie), Xhemajli et Qela (Kosovo).
À 11h40, fin de ce match d’un genre particulier. Les joueurs retrouvent leur vestiaire tranquillement, se réjouissant d’un congé de deux jours et demi. Avant de sauter sous la douche, certains d’entre eux allument leurs téléphones portables et jettent un œil distrait sur les réseaux sociaux, comme ils ont l’habitude de le faire régulièrement.
Découverte abrupte
Mais très vite, le ton monte...