Premier match de l’année, première victoire: l’équipe de Suisse a, si l’on se fie au résultat brut uniquement (0-1), bien lancé son opération Coupe du monde en venant à bout d’une formation grecque, qui, faute de participation au Mondial russe, n’était certes pas d’une motivation débordante, mais d’un sérieux qu’on lui connaît depuis 2004. D’habitude fidèle à son 4-2-3-1, Vladimir Petkovic s’est vu contraint d’innover (un peu), absences de Shaqiri et Mehmedi obligent.
Connaissant la fragilité des deux hommes respectivement ménagé et blessé, le sélectionneur de l’équipe de Suisse a fait du neuf avec du vieux et expérimenté divers plans B, en plaçant d’entrée Dzemaili en faux ailier gauche à forte tendance axiale. Idem de l’autre côté, avec un Embolo qui a eu la meilleure – et seule – occasion suisse (41e) d’une première mi-temps soporifique.
Un assist pour Seferovic
Deux éléments positionnés devant un trident «renversé» dans l’axe...