Votre publicité ici avec IMPACT_medias
Réservé aux abonnés

Les commentatrices n’ont pas brisé le tabou

Des femmes assurent pour la première fois le commentaire lors de cette Coupe du monde et ce n’est pas toujours bien accepté.

29 juin 2018, 00:01
Germany's Ariane Hingst gets to grips with Norway's Lisa Klaveness in the UEFA European Womens Championship final at Ewood Park, Blackburn, 19 June 2005.  (KEYSTONE/EPA/SIMON BELLIS) === UK AND IRELAND OUT === FUSSBALL FRAUEN EM DEU NOR HINGST KLAVENESS

Pour la première fois dans l’histoire de la Coupe du monde, des femmes commentent dans plusieurs pays des matches du Mondial 2018. Et ces pionnières sont la cible d’un torrent d’insultes sexistes.

Si des présentatrices, expertes et consultantes ont doucement gagné leur place sur les plateaux d’émissions sportives, le commentaire en direct de la compétition reine restait jusqu’ici la chasse gardée des hommes.

Claudia Neumann sur la chaîne ZDF en Allemagne, Vicki Sparks sur la BBC en Grande-Bretagne, Hanna Marklund pour TV4 en Suède, Lise Klaveness (ancienne internationale) pour NRK en Norvège ou encore Aly Wagner pour Fox aux Etats-Unis ont donc brisé un plafond de verre à l’occasion du Mondial russe, et elles en ont fait les frais sur les réseaux sociaux.

Vilipendées

«Je ne veux pas de femmes comme commentatrice de foot! C’est clair!» «Vicki Sparks sur BBC elle est horrible. L’égalité à marche forcée me fait...

Votre publicité ici avec IMPACT_medias