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Ligue des champions: l'Atletico Madrid se hisse difficilement en quarts de finale

Se qualifier pour les quarts de finale de la Ligue des champions n'a rien eu d'une promenade de santé pour l'Atletico Madrid. Des tirs ont buts ont été nécessaires pour que le club de foot espagnole se départisse mardi du PSV Eindhoven.

16 mars 2016, 07:26
L'Atletico Madrid a vécu un match plus difficile que prévu.

L'Atletico Madrid a obtenu dans la douleur sa place en quarts de finale de la Ligue des champions. Les Colchoneros se sont qualifiés aux tirs au but (8-7) contre le PSV Eindhoven. Narsingh a été le héros malheureux en expédiant son penalty sur la transversale. A défaut de buts durant les deux matches de cette confrontation, il y a eu du suspense. Les tirs au but ont vu les sept premiers tireurs des deux camps réussir. Après l'échec de Narsingh, Juanfran a délivré les socios et envoyé l'Atletico en quarts pour la troisième année de suite.

Après le 0-0 qui avait sanctionné un match aller fermé à double tour, il ne fallait pas s'attendre à voir les deux équipes se ruer à l'attaque. D'abord bien défendre, puis spéculer sur une balle arrêtée ou un exploit individuel, la recette de l'Atletico de Diego Simeone reste immuable. Pour leur part, les visiteurs se présentaient en 5-3-2, avec une arrière-garde renforcée, mais ils tentaient sporadiquement d'attaquer en nombre, les deux latéraux montant alors d'un cran. 

 

 

Dans ces conditions, les actions dangereuses ont été rares. En première mi-temps, la seule occasion nette était pour Griezmann au quart d'heure: servi par Koke, l'attaquant français se brisait sur l'excellent Zoet. Pour le reste, les défenses, très attentives, prenaient le pas sur les attaques. A la reprise, les Madrilènes prenaient - enfin - un peu plus d'initiatives. Simeone renforçait son dispositif offensif en faisant entrer Torres pour un milieu (Fernandez). Mais le PSV frôlait l'ouverture du score peu après, sur un tir de Locadia qu'Oblak déviait sur son poteau (58e). Les Colchoneros multipliaient les tirs en direction du but adverse, mais il y avait toujours une jambe ou un corps pour contrer les ballons. Ou Zoet, comme sur un essai de Griezmann (84e) ou une frappe de Torres qu'il détournait sur son poteau (87e).

Les prolongations étaient donc inévitables. Comme souvent, elles n'allaient rien apporter. La qualification se décidait donc à la loterie des tirs au but, après trois heures et demie d'une totale stérilité entre ces deux équipes...

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