Cette fois-ci, Daniel Gisiger aborde la dernière ligne droite du sprint. Un mois après les JO de Tokyo, il partira à la retraite à 66 ans bien tassés. Il évoque l’actualité de la piste helvétique pour Keystone-ATS.
Daniel Gisiger, comment les coureurs ont évolué après les Mondiaux de Berlin en février 2020 avec les restrictions dues à la pandémie du coronavirus ?
Nous avons vraiment eu de la chance d’avoir pu qualifier le +quatre+ à ce moment-là. Après ce fut le chaos dans le monde. Le billet en poche, nous avons pu souffler un peu. Ensuite, les coureurs du cadre national avaient accès aux vélodromes, ils ont pu poursuivre leur préparation.
Tous vos efforts sont actuellement tournés vers les JO de Tokyo ?
Effectivement, nous devons y participer dans les meilleures conditions. Nous avons mis au point un système de qualification interne via des simulations de courses sur notre vélodrome...